Thierry Larose
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Originaire de Marieville, Thierry Larose marque son adolescence de la pop lo-fi américaine et de la chanson indiequébécoise des années 2000, qu’il découvre via les bacs à rabais d’un commerçant local et via feue Bande à part. Été 2018, début vingtaine, il arrive à Montréal avec la seule intention de prendre une sabbatique d’études en littérature anglaise pour se concentrer intégralement à la musique. Il se lie avec Francis Baumans, qui deviendra rapidement son gérant, son collaborateur musical et son bff avec qui il jase tout le temps de Pinkerton de Weezer.
Ce dernier lui présente l’autrice-compositrice-interprèteMarie Claudel, qui de par ses talents de guitariste impressionnera grandement le nouvel arrivé dans la métropole. Avec CAO (Charles-Antoine Olivier pour les intimes), batteur du groupe Zen Bamboo avec qui il jase tout le temps de vulnérabilité et de l’émotion brute de Before Sunrise de Richard Linklater, le groupe à l'esprit exalté sera formé. À l'automne, ne perdant pas de temps, le nascent quatuor se rend au studio Madame Wood pour y enregistrer quelques pièces.
Les dites pièces sont soumises au concours-vitrine Les Francouvertes, pour lequel Thierry est retenu. Début 2019, il s’y démarque pendant la ronde préliminaire et celle de la demi-finale, attirant notamment l’attention de Grosse Boîte -ce qui est quand même pas pire, comme ce sont les premiers shows de son groupe. Dans la même période, il dévoile un vidéoclip pour «Cache-cou», première pièce publiée sous son nom, et encore là, petit éclat de plus, Safia Nolin l’invitera à assurer quelques-unes de ses premières parties.
Pendant les mois suivants, il fait paraître un maxi numérique contenant «Cache-cou» ainsi que l’allègre brûlot pop-punk «La vie ne vaut d’être vêtue», se présente dans des festivals tels que Pop Montréal, Santa Teresa et St-Roch XP, multiplie les apparitions radios et se charge aussi d'ouvrir quelques concerts des soeurs Boulay, tout en continuant d’écrire et de composer tout le temps.
Approché par Alexandre Martel, lequel lui offre avec enthousiasme ses services de réalisateur, le jeune artiste et son nouvel ami entrent en studio à l’automne 2019 pour y élaborer un premier album. Le précepte derrière l’œuvre naissante est simple : malgré les années de précédents, il y aura toujours moyen de créer quelque chose de neuf. Rock vectoriel et scintillant, indie pop d’une jeunesse flottante, chanson aussi belle que perméable, et des textes aux narrations subtilement glissées derrière des images dont l’ironie détachée laisse deviner les propos appliqués : ça s’en vient. Il présentera bien vite «Les amants de Pompéi» comme premier gage, l’album viendra au printemps, et il ne souhaite humblement qu’une chose : qu’à l’écoute, on ressente ce qu’il a pu ressentir, la première fois qu’il a regardé Before Sunrise
Originaire de Marieville, Thierry Larose marque son adolescence de la pop lo-fi américaine et de la chanson indiequébécoise des années 2000, qu’il découvre via les bacs à rabais d’un commerçant local et via feue Bande à part. Été 2018, début vingtaine, il arrive à Montréal avec la seule intention de prendre une sabbatique d’études en littérature anglaise pour se concentrer intégralement à la musique. Il se lie avec Francis Baumans, qui deviendra rapidement son gérant, son collaborateur musical et son bff avec qui il jase tout le temps de Pinkerton de Weezer.
Ce dernier lui présente l’autrice-compositrice-interprèteMarie Claudel, qui de par ses talents de guitariste impressionnera grandement le nouvel arrivé dans la métropole. Avec CAO (Charles-Antoine Olivier pour les intimes), batteur du groupe Zen Bamboo avec qui il jase tout le temps de vulnérabilité et de l’émotion brute de Before Sunrise de Richard Linklater, le groupe à l'esprit exalté sera formé. À l'automne, ne perdant pas de temps, le nascent quatuor se rend au studio Madame Wood pour y enregistrer quelques pièces.
Les dites pièces sont soumises au concours-vitrine Les Francouvertes, pour lequel Thierry est retenu. Début 2019, il s’y démarque pendant la ronde préliminaire et celle de la demi-finale, attirant notamment l’attention de Grosse Boîte -ce qui est quand même pas pire, comme ce sont les premiers shows de son groupe. Dans la même période, il dévoile un vidéoclip pour «Cache-cou», première pièce publiée sous son nom, et encore là, petit éclat de plus, Safia Nolin l’invitera à assurer quelques-unes de ses premières parties.
Pendant les mois suivants, il fait paraître un maxi numérique contenant «Cache-cou» ainsi que l’allègre brûlot pop-punk «La vie ne vaut d’être vêtue», se présente dans des festivals tels que Pop Montréal, Santa Teresa et St-Roch XP, multiplie les apparitions radios et se charge aussi d'ouvrir quelques concerts des soeurs Boulay, tout en continuant d’écrire et de composer tout le temps.
Approché par Alexandre Martel, lequel lui offre avec enthousiasme ses services de réalisateur, le jeune artiste et son nouvel ami entrent en studio à l’automne 2019 pour y élaborer un premier album. Le précepte derrière l’œuvre naissante est simple : malgré les années de précédents, il y aura toujours moyen de créer quelque chose de neuf. Rock vectoriel et scintillant, indie pop d’une jeunesse flottante, chanson aussi belle que perméable, et des textes aux narrations subtilement glissées derrière des images dont l’ironie détachée laisse deviner les propos appliqués : ça s’en vient. Il présentera bien vite «Les amants de Pompéi» comme premier gage, l’album viendra au printemps, et il ne souhaite humblement qu’une chose : qu’à l’écoute, on ressente ce qu’il a pu ressentir, la première fois qu’il a regardé Before Sunrise