Elephant Stone
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En une dizaine d’années, la création psych-pop de Rishi Dhir (voix, bass, sitar) a sorti cinq albums acclamés par les critiques et le public. Avec ses collaborateurs de longue date Miles Dupire (batterie) et Gab Lambert (guitare), ils ont déjà été nominés au Polaris Music Prize et ont longuement tourné en Amérique du Nord et en Europe. Étant un joueur de sitar renommé, Dhir a aussi collaboré avec des icônes de l’indie rock (Beck) et des groupes légendaires (The Brian Jonestown Massacre). Il est aussi membre du supergroupe psychédélique MIEN (avec des membres de The Horrors et The Black Angels).
Sorti en 2009 sur le label de Dhir ‘Elephants on Parade Records (EOP)’, The Seven Seas a recueilli de bonnes critiques, aboutissant à une nomination au Polaris Music Prize du meilleur album Canadien. Produit par Jace Lasek (The Besnard Lakes), l’album a introduit la fusion novatrice de rock ‘n’ roll, musique classique hindoue et pop infectieuse qui caractérise Elephant Stone. En 2010, le groupe sort The Glass Box EP qui reprend les sonorités fougueuses de The Seven Seas. A partir de là, Elephant Stone lance sa première tournée en Amérique du Nord en première partie de The Brian Jonestown Massacre.
En 2013, Elephant Stone sort son troisième LP, éponyme. Encore une fois, les critiques l’ont acclamé, notamment NPR, Brooklyn Vegan, Consequence of Sound ainsi que d’autres medias importants. Cet album contient les plus belles chansons de Dhir: ‘Heavy Moon’, ‘Love the Sinner, Hate the Sin’ ainsi que ‘A Silent Moment’ qui a beaucoup d’influences raga. L’année d’après, le groupe tourne encore en Europe et en Amérique du Nord, en tant que tête d’affiche mais aussi en support de The Zombies et The Black Angels (entre autres). Ils ont aussi fait des apparitions à de multiples festivals (Levitation Austin et France, Best Kept Secret etc.).
Un quatrième album - The Three Poisons - a suivi en 2014. Irrésistiblement sombre et inventif, l’album étale l’exploration lyrique de Dhir sur des thèmes Bouddhistes ainsi que sur le Livre Tibétain des Morts. La version remixée du LP - ES3PRMX- sort en 2015 en ligne. Anton Newcombe du groupe The Brian Jonestown Massacre, Tom Furse de The Horrors, Alex Maas de The Black Angels, Peter Holmström de The Dandy Warhols et bien d’autres ont contribué avec des remix.
En 2016, Elephant Stone sort son cinquième album, Ship of Fools, sur le label Burger Records/EOP. Produit par Marcus Paquin (Arcade Fire), il reçoit de très bonnes notes sur les sites spécialisés, et deux singles passent en boucle sur les radios commerciales Canadiennes (‘Andromeda’ et ‘Manipulator’).
Elephant Stone est de retour avec leur première chanson en 3 ans, “Land Of Dead”, qui fait un peu moins de deux minutes. “Land Of Dead” commence doucement avec le sitar, mais fait rapidement un volte-face avec un riff qui rappelle “Paranoid” de Black Sabbath, accompagné de Rishi qui chante “land of dead, land of fire”. Le son se termine avec la lamentation d’un enfant qui chante “goodbye blue skies, so long clean air… do you even care?”. “Land of Dead” raconte une histoire dystopique d’un monde défait par nous-même.
En une dizaine d’années, la création psych-pop de Rishi Dhir (voix, bass, sitar) a sorti cinq albums acclamés par les critiques et le public. Avec ses collaborateurs de longue date Miles Dupire (batterie) et Gab Lambert (guitare), ils ont déjà été nominés au Polaris Music Prize et ont longuement tourné en Amérique du Nord et en Europe. Étant un joueur de sitar renommé, Dhir a aussi collaboré avec des icônes de l’indie rock (Beck) et des groupes légendaires (The Brian Jonestown Massacre). Il est aussi membre du supergroupe psychédélique MIEN (avec des membres de The Horrors et The Black Angels).
Sorti en 2009 sur le label de Dhir ‘Elephants on Parade Records (EOP)’, The Seven Seas a recueilli de bonnes critiques, aboutissant à une nomination au Polaris Music Prize du meilleur album Canadien. Produit par Jace Lasek (The Besnard Lakes), l’album a introduit la fusion novatrice de rock ‘n’ roll, musique classique hindoue et pop infectieuse qui caractérise Elephant Stone. En 2010, le groupe sort The Glass Box EP qui reprend les sonorités fougueuses de The Seven Seas. A partir de là, Elephant Stone lance sa première tournée en Amérique du Nord en première partie de The Brian Jonestown Massacre.
En 2013, Elephant Stone sort son troisième LP, éponyme. Encore une fois, les critiques l’ont acclamé, notamment NPR, Brooklyn Vegan, Consequence of Sound ainsi que d’autres medias importants. Cet album contient les plus belles chansons de Dhir: ‘Heavy Moon’, ‘Love the Sinner, Hate the Sin’ ainsi que ‘A Silent Moment’ qui a beaucoup d’influences raga. L’année d’après, le groupe tourne encore en Europe et en Amérique du Nord, en tant que tête d’affiche mais aussi en support de The Zombies et The Black Angels (entre autres). Ils ont aussi fait des apparitions à de multiples festivals (Levitation Austin et France, Best Kept Secret etc.).
Un quatrième album - The Three Poisons - a suivi en 2014. Irrésistiblement sombre et inventif, l’album étale l’exploration lyrique de Dhir sur des thèmes Bouddhistes ainsi que sur le Livre Tibétain des Morts. La version remixée du LP - ES3PRMX- sort en 2015 en ligne. Anton Newcombe du groupe The Brian Jonestown Massacre, Tom Furse de The Horrors, Alex Maas de The Black Angels, Peter Holmström de The Dandy Warhols et bien d’autres ont contribué avec des remix.
En 2016, Elephant Stone sort son cinquième album, Ship of Fools, sur le label Burger Records/EOP. Produit par Marcus Paquin (Arcade Fire), il reçoit de très bonnes notes sur les sites spécialisés, et deux singles passent en boucle sur les radios commerciales Canadiennes (‘Andromeda’ et ‘Manipulator’).
Elephant Stone est de retour avec leur première chanson en 3 ans, “Land Of Dead”, qui fait un peu moins de deux minutes. “Land Of Dead” commence doucement avec le sitar, mais fait rapidement un volte-face avec un riff qui rappelle “Paranoid” de Black Sabbath, accompagné de Rishi qui chante “land of dead, land of fire”. Le son se termine avec la lamentation d’un enfant qui chante “goodbye blue skies, so long clean air… do you even care?”. “Land of Dead” raconte une histoire dystopique d’un monde défait par nous-même.